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"Sans
la liberté de blâmer, il n'est pas d'éloge flatteur..."
(Le Mariage de Figaro, Beaumarchais)
Lire
"Écoute mon ami", du patron Louis Jouvet,
et "La Construction du personnage",
de Stanislavski, est une évidente nécessité pour
qui,
tout jeune, prétend vivre du métier de comédien.
C'est une bonne chose.
Une autre plus délicate chose est de s'inscrire dans la logique
professionnelle de l'expression théâtrale.
Soit devenir "intermittent du spectacle" (fraternel remerciement
à l'inventeur de cet étiquetage social).
Soit sociétaire d'une troupe à part entière...
Mais C.D.I. ? Faut tout de même pas rêver !
Intervient alors le choix.
Devenir comédien-marionnette manipulé.
Ou comédien-interprète libre.
Pensées affectueusement professionnelles à :
Antoine Vitez et Jean Vilar,
Jean-Pierre Vincent et Giorgio Strehler,
Denise Gence et Romane Bohringer,
Michel Aumont et Fabrice Lucchini.
Pensées émues à la déesse "Subventions".
Au 1% de la Culture.
Mais aussi à Pierre Corneille pour sa sublissime
"Illusion
comique".
Un
contact avec le comédien ?